Centre de contrôle du corps humain, le système nerveux de la base du cerveau est l’interface entre le corps et l’esprit, entre l’individu et le monde extérieur.
Ce rôle central en fait le maître de nos sensations, de nos pensées, de nos émotions, de nos actions.
Il contrôle également chacun de nos organes, notre système hormonal et notre système immunitaire .
Son bon fonctionnement est le fondement de notre intégrité physique et psychologique.
Merveilleuse mécanique de précision, d’intelligence et d’adaptation, il souffre aussi des agressions variées et répétées auxquelles le monde moderne soumet l’individu.
À la suite d’un événement (naissance douloureuse, choc psychologique, traumatisme crânien, maladie virale etc.) ou de manière insidieuse (stress, surmenage, pollution sonore, chimique, électromagnétique, etc.), nos mécanismes de régulation dysfonctionnent de manière plus ou moins importante, entraînant des conséquences variées.

 
a) Au niveau du système sensoriel

Hypersensibilité au bruit, hypersensibilité à la lumière, confusion auditive, manque ou excès de réflexivité tendineuse, crampes de l’écrivain, bégaiement, dyslexie, dysorthographie, aphasie, inadaptation scolaire, hallucinations visuelles, auditives, tactiles.

 
 
 
b) Au niveau du système neurovégétatif

Somnolence, fatigue au réveil, fatigue chronique, attaques de panique, stress, timidité, angoisses, rougissements, difficultés sexuelles,  problèmes de la puberté et de la ménopause,  perturbations du comportement alimentaire, énurésie.

 
c) Au niveau de la vie psychique

Difficultés au niveau du caractère, du sommeil, fatigue chronique, dépression, inapplication, manque de volonté, timidité, nervosité, émotivité, perte de mémoire, anxiété, déficit d’attention, caprices, fringales, onychophagie, tics, irritabilité, crises de larmes intempestives, rougissements, difficultés sexuelles, mythomanie, phobies, agoraphobies, claustrophobies, mélancolie anxieuse, peurs, manies, TOC (troubles obsessionnels compulsifs), complexes d’infériorité, cauchemars.

Il convient d’y ajouter les séquelles de chocs postopératoires, les conséquences de commotions accidentelles, de chocs émotionnels, de surmenages physiques et intellectuels.

Georges QUERTANT a mis en évidence le lien entre le bon fonctionnement de la vision et le bon fonctionnement du système nerveux



L’analyse visuelle est cérébrale, en effet ce n’est pas l’œil qui voit mais le cerveau.

C’est un processus de construction complexe et efficace.

Il y a un lien étroit entre le bon fonctionnement de la vision et le bon fonctionnement du système nerveux. C’est tout le génie de Georges Quertant d’avoir mis en évidence cette réalité.

Les mouvements de l’oeil étant très précis, ils offrent une voie d’observation et de mesure des micro-perturbations de l’activité nerveuse.
Cette observation se fait avec les appareils conçus par G. Quertant.

Si les mouvements de l’oeil sont perturbés par des «micro-baisses» ou des «micro–hausses» du débit d’énergie nerveuse, provenant d’un déséquilibre des centres régulateurs du cerveau, la vision le met en évidence.

…..>> La première étape consiste à  effectuer une EXPLORATION :  après les tests effectués, une analyse très poussée prend en compte l’amplitude de déformation de chaque image ainsi que son sens de déformation.

Il est alors possible de décrire de manière objective et précise le degré de dysfonctionnement et de déséquilibre nerveux du sujet, les différentes difficultés qui en résultent et proportionnellement le gain que le sujet pourra obtenir par le training.

Cette exploration apporte bien souvent un premier mieux-être en contribuant à  une meilleure connaissance de soi.

Le rétablissement de l’équilibre nerveux va optimiser les fonctions vitales.

exercice visuel

…..>> La deuxième étape, le TRAINING (neuro-somato-psycho-pédagogie), utilise les mêmes appareils et images afin de corriger le dysfonctionnement des centres nerveux régulateurs.

Le training met ainsi en œuvre un processus de biofeedback appliquée à la neurophysiologie: il active la capacité de l’organisme à corriger son propre fonctionnement.

En s’entraînant, lors de séances de 30 mn,  à percevoir les images correctement, le sujet établit des circuits neuronaux correspondant à une juste réactivité de son système nerveux central.

Il s’agit d’une méthode éducative utilisant les principes même de l’apprentissage : répétition et progression.

Le meilleur fonctionnement des centres nerveux régulateurs a une action bénéfique directe sur l’ensemble de l’organisme du sujet avec des effets dans sa vie sensorimotrice, neurovégétative et psychique, lui donnant ainsi les moyens de développer tout son potentiel.

Sans dépendance, ni effets secondaires, les bénéfices du training se maintiennent dans le temps.